\brief{Louis Rougier an Rudolf Carnap, 8. Juli 1935}{Juli 1935} %Besan\c{c}on, 8 juillet, 1935, \anrede{Mon cher Carnap,} \haupttext{J\textasciiacute{}\'{e}cris \`{a} Freymann\IN{\freymann} et au G\'{e}n\'{e}ral Vouillemin\IN{\vouillemin} que tout est arrang\'{e} pour la traduction de vos deux m\'{e}moires en une seule brochure. J\textasciiacute{}envoie les 9 lettres \`{a} Neurath\IN{\neurath} pour qu\textasciiacute{}il les signe. Il les enverra toutes les 9 \`{a} l\textasciiacute{}adresse de \uline{Kotarbinski}\IN{\kotarbinski}. Du c\^{o}t\'{e} latin, il y a une trentaine de communications promises. Deux seulement \neueseite{} sont encore parvenues. Toute cette pr\'{e}paration est bien h\^{a}tive. J\textasciiacute{}esp\`{e}re n\'{e}anmoins que le Congr\`{e}s\II{\pariserkongress} sera un succ\`{e}s.} \grussformel{Tr\`{e}s cordialement \`{a} vous\\ Louis Rougier} \briefanhang{Mes meilleurs souvenirs \`{a} Tarski\IN{\tarski}, dont j\textasciiacute{}ai admir\'{e} \`{a} Prague l\textasciiacute{}esprit si incisif et net.} \ebericht{Brief, hsl., 2 Seiten, \href{https://doi.org/10.48666/870593}{RC 029-24-05}; Briefkopf: \blockade{fac simile Université de Besançon, Faculté des Lettres}, gedr. \original{Besan\c{c}on, le}, hsl. \original{8\,juillet 1935}.}